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Les Affranchies

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La grande aventure

24 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

La grande aventure

Loin de moi l'idée de ramener les grands projets à des détails terre-à-terre et encore moins de vouloir briser les élans d'enthousiasme des aventurières conquérantes... Mais!

Si comme je l'imagine, celles qui s'apprêtent à parcourir le monde sont des femmes aux cheveux courts, voir très courts, habituées à livrer leur chevelure chaque mois aux lames d'un coiffeur expert, il faut bien envisager que l'aventure va durer plusieurs mois et que faute de laisser pousser ses cheveux ou de les réduire à leur plus simple expression à coup de tondeuse, il va bien falloir à un moment affronter "le coiffeur local". Et croyez moi, ce n'est pas toujours simple...

Parce qu'évidemment vous n'aurez pas tracé votre itinéraire en fonction du réseau Jacques Dessange à travers le monde, mais plutôt pour découvrir des coins typiques, authentiques et... un peu à l'écart de la civilisation.

Deux options. Vous partez avec une bonne paire de ciseaux et un bonnet, que vous ne quitterez plus de l'Australie à l'Alaska, ou bien vous avez suffisamment de cran pour explorer aussi le coiffeur du coin.

Je dis le coiffeur, parce que comme je l'imagine, certaines contrées que vous visiterez n'offre pas aux femmes ce genre de soins.

La grande aventure

Et là... comment dire... C'est un peu comme l'épreuve d'immunité de Kho Lanta. Il faut prendre une grande respiration et y aller avec le sourire.

Mais une fois l'étape franchie, c'est certain, vous aurez tous les gros durs du coin dans votre poche.

Bon, évidemment mon argumentaire ne tient pas la route très longtemps, on est jamais très loin d'un endroit civilisé pour se faire dorloter un peu après avoir traversé la Cordillière des Andes à dos de lama, mais bon. La civilisation c'est aussi une notion toute relative dans certains coins du globe.

En tout cas, la prochaine qui part à l'aventure, je suis preneur de son récit de voyage à la découverte... des coiffeurs du monde entier.

Photos: Dominic Chiam (h) et Rafael Sacasa (b)

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Pour toujours

23 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Tendresses

Pour toujours

C'est le portrait d'une femme, comme un symbole. Une femme des années 50 qui pourrait ressembler à ma propre mère, mais aussi une femme hors du temps par la magie du cinéma. Si bien que j'ai pu en être épris lorsqu'elle était Ilsa Lund dans le coeur d'Humphrey Bogart ou Maria dans les bras de Gary Cooper. C'est la reine du cinéma.

Sa blondeur scandinave et ses cheveux courts ont sans doute orientés mon désir, mais de cette époque, toutes les femmes avaient les cheveux courts, à Hollywood comme ailleurs, alors c'était sans doute ces personnages. Des femmes dans l'adversité, tiraillées entre devoir et sentiments, bouleversées par la vie et sauvées par l'amour.

Et cette année, c'est ce portrait d'Ingrid Bergman qui illumine la Croisette. Le portrait merveilleux d'une femme aux cheveux courts à travers laquelle chacun a des souvenirs, des références, des émotions, de l'admiration ou du désir et je trouve que cela donne de la noblesse à cette grande foire du cinéma qui a perdu pas mal de son glamour d'antan

 

Photo: David Seymour

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Les Dames de la Côte

22 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Divers & variés

Les Dames de la Côte

J'ai une vie formidable!

Et de temps en temps c'est bien de se le dire.

J'ai donc un mot d'excuse pour le vide d'article de ces deux derrniers jours: " Veuilez excuser l'absence du petit Jeaneg qui était sur la Côte d'Azur pour voir des amies." Je ne sais pas si ça va passer, mais comme c'est la vérité j'ai la conscience tranquille.

Après une soirée avec Delf, ma petite soeur de coeur, celle qui sait mieux que les autres ce qu'est ma dilection pour les cheveux courts, j'ai filé le lendemain à la rencontre de Patricia et Séléna. Personne n'a oublié ce "Quartier Libre" de mère en fille parut ici au mois de janvier.

C'est toujours mieux quand on peut se parler en tête à tête, découvrir les personnes de chair et d'os et papoter des heures en sirotant un Mojito. Quel agréable moment...

Patricia m'avait déjà presque tout révélé, pourtant il y avait encore tant de choses à dire... Séléna "en vrai", parfaitement nature, en pleine addiction, les cheveux toujours plus courts, qu'elle tentait parfois d'ébouriffer, sans succès tellement ils sont tondus à présent... Toutes deux sont bien les femmes que la virtualité m'avait laissé deviner, authentiques et déterminées, aux âmes aussi fusionnelles que deux jumelles, se reflettant l'une l'autre sur l'échelle du temps.

J'aurais voulu rester plus longtemps, peut être m'enivrer de vin rosé et refaire le monde. Mais tant pis, ma vie est tout de même formidable!

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Raide!

19 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Raide!

Evidemment, tout le monde se plaint tout le temps et donc celles qui ont les cheveux bouclés les aimeraient raides comme la Justice et celles qui ont des baguettes de tambour rêvent de bouclettes un peu folles... C'est bien connu, y a rien de nouveau là dedans...

Moi qui aime la nature sans artifice, j'avoue une certaine tendresse pour celles qui s'acceptent telles qu'elles sont et savent en tirer le meilleur. Question de style.

Et en matière de style, il y a bien des avantages à avoir le cheveux raide. A condition d'aimer la netteté et le tranchant d'une coupe graphique. Of course.

Epaisse comme un rideau de velours ou éffilée comme un voile de tulle, la frange ne souffre aucune médiocrité bien sûr. Pas plus que la rectitude du carré, droit et affuté comme une lame.

Parce que finalement, avoir du style, c'est un peu s'imposer certaines obligations qui aux yeux des autres peuvent paraître futiles, considérer que quelques millimètres de plus ( ou de moins ) change tout, mais tout, dans l'allure que vous donne une simple frange, que votre coupe au carré, aussi basique soit-elle, reste remarquable parce qu'elle est constament aussi nette que si vous sortiez à l'instant de chez le coiffeur...

Bref! L'effort est presque aussi grand que si vous aviez les cheveux très courts...

Question de style!

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Intimité... complicité

17 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Intimité... complicité

Il n'y a pas si longtemps, le coiffeur c'était comme l'école publique. Les filles d'un côté et les gars de l'autre. Chacun ses habitudes. Et même lorsqu'on a fait valoir une certaine mixité, il y avait toujours un coin pour les unes et un autres pour les hommes dans le même salon...

De cette époque peut être, reste-t-il une certaine pudeur, un besoin d'intimité, lorsqu'en tête à tête, on part à la recherche de soi même ou que l'on a besoin d'un radical changement pour clore un chapitre.

Après une période qui n'est sans doute pas terminée, où la vraie mixité fut de rigueur, mais en tentant d'entrainer les hommes dans un univers un peu féminisé, avec bac à shampooing, petit café et brushing, on assiste à une renaissance des bons vieux salons de barbier.

Un juste retour des choses, amélioré par cette habitude de ne plus réserver les salons de coiffure à un genre en particulier. Cette fois ce qui détermine le choix de l'un ou de l'autre, c'est le style. Et lorsqu'on est une femme aux cheveux courts " comme les garçons ", tout naturellement on s'adresse aux professionnels spécialisés. Non?

Du coup cela permet une certaine complicité, entre celles et ceux qui aiment les cheveux courts, très courts, familiers des tondeuses électriques et du fondu dans le dégradé...

Photo: Elliot S et Adam SC chez Decatur & Sons

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Icône

15 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Icône

Vous pouvez chercher dans votre mémoire... Elles ne sont pas très nombreuses ces étoiles filantes qui dès leur apparition ont subjugué la planète.

Je me demande aujourd'hui si quelqu'un ignore qui était Jean Seberg? Peut être que les plus ignorant(e)s imaginent simplement que c'est un style de coiffure, mais quand bien même, c'est déjà ça.

Question de conjoncture direz vous? Pour être l'icône de la Nouvelle Vague il faut bien arriver au bon moment, ni avant, ni après. Certes! Pourtant cela ne suffit pas.

Icône

Si elle est plutôt jolie du haut de ses 17 ans, le rôle de sainte guerrière qu'on lui fait endosser et les cheveux ras qu'on lui impose sont certainement ce qui va faire la différence. Premiers pas dans le monde et la voilà propulsée au firmament parce que sa jeunesse et sa fraîcheur ne sont pas altérées par cette coupe de cheveux qu'on ne connait pas aux femmes à cette époque. Et cela restera...

Bonjour Tristesse... A bout de souffle. Nous y sommes. Jean Seberg devient d'un seul coup l'image de cette jeunesse éternelle, audacieuse, indépendante, son accent et son t-shirt du Herald Tribune lui donne de l'exotisme et ses cheveux courts la rendent inclassable, merveilleusement féminine en robe, terriblement "tomboy" en pantalon.

Les américains appellent sa coupe de cheveux "gamine" ou "pixie", nous on va dire "garçonne" parce qu'on ne sait pas dire mieux. Cependant, sans rien nier du talent de la jeune américaine, je me demande parfois si les choses auraient été si fortes si elle avait gardé les jolies boucles blondes de son adolescence...

Icône

Photos de haut en bas: Bonjour Tristesse (1958), Sainte Jeanne (1957), A bout de Souffle (1960)

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Electroménager

14 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Electroménager

Sans doute personne n'aurait imaginé chez Wahl, même dans les rêves les plus hallucinés de son directeur marketing, qu'un jour les produits de la marque auraient autant de notoriété que l'aspirateur de Hoover ou le réfrigérateur de Frigidaire.

L'invention d'un moteur électromagnétique vibrant était génial, il y a 100 ans. Cela réduisait considérablement le volume d'un appareil destiné par exemple à l'entretien des animaux. Du coup les coiffeurs pouvaient eux aussi s'équiper de ces toutes nouvelles tondeuses électriques et ratiboiser à tour de bras les kids de l'Oncle Sam.

Mais surtout, cette facilité d'usage allait permettre à tout un chacun de s'improviser coiffeur à la maison et dès les années 50 la marque faisait la promotion de cet usage domestique, alors bien sûr réservé uniquement au bien être du sexe masculin dont madame s'occupait... Hum!

Bien sûr il fallut un peu plus de temps pour voir chez nous cet appareil exclusivement professionnel muter vers l'électroménager courant. On peu même dire que c'est assez récent.

Récent, mais fulgurant! Je suis prêt à parier mon quart de solde qu'aujourd'hui tout le monde a une tondeuse électrique chez lui. Et si, comme d'habitude, au départ il s'agissait de rafraichir la coupe de monsieur ou celle du petit dernier, ce sont dorénavant les femmes qui en sont les utilisatrices à part égale ( ou presque ). Surtout les plus jeunes ( mais pas que... ) qui sont capables ainsi de survivre au manque de moyens pour se payer le coiffeur régulièrement comme l'exigerait leur coupe de cheveux.

Merci Leo quoi!

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Sexiste mais... bienveillant

13 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Sexiste mais... bienveillant

Ça devait bien arriver un jour ou l'autre. D'ailleurs pour tout dire, je suis surpris que cela ne se soit pas produit plus tôt. A force d'écrire sur un sujet "si brûlant", d'aimer les choses vraies, de soutenir et d'encourager celles qui sont authentiques, bref, de parler des femmes, il fallait bien qu'à un moment une ou deux "féministes" me tombent dessus.

Jusqu'à présent je bénéficiais d'un royal mépris de la part des militantes les plus orthodoxes d'un féminisme à la maman, bien que mon dévouement pour la lutte des genres apparaisse certainement des plus suspect à leur yeux.

Un premier coup de semonce avait été néanmoins tiré à la suite d'un article intitulé:

T'as l' bonjour du "pervers psychopathe fétichiste" dans lequel j'évoquais à nouveau l'idée de l'homme lesbien. Un commentaire anonyme hélas - ben oui quoi! On a pas salé les morues ensemble non plus - me reprenait de volée pour me dire que c'était un peu abusif pour un homme de s'affubler du qualificatif de lesbien alors que je ne souffrais pas le moins du monde de la discrimination liée au statut de femme ET d'homosexuelle et que donc en me qualifiant d'homme lesbien je niais carrément l'oppression subie par les minorités.... Enfin en substance.

Conciliant, j'ai révisé mon point de vue et décidé d'abandonner l'homme lesbien pour le "non sexiste" beaucoup moins fluide mais bien plus explicite et cela sans même relever la confusion que faisait ma commentatrice sur l'homme lesbien qui pour elle est un transsexuel né fille, qui aime les filles... Bref! Le coup passa si près que le chapeau tomba comme disait Victor...

L'incident était clos dans mon esprit jusqu'à hier où un nouveau commentaire sur le même article fit remonter "l'affaire" à la surface. Anonyme lui aussi comme il se doit, il venait sur le tard, épauler ce premier commentaire fait 3 mois auparavant.

Passée la satisfaction de constater qu'il n'y a pas que l'article du jour qui intéresse ces dames, je me suis pris dans la figure une tirade un peu capillo-tractée ( mais c'est bien normal pour un blog comme celui-ci ) où pelle-mêle ce que j'écris transpire de résidus moisissants d'un sexisme d'autant plus pervers qu'il est persuadé d'en être au dessus (sic) et que tout le blog ne serai que de ce bois, sous sa couche de bonne conscience apportée grâce au bon vieux coup de peinture du sexisme bienveillant (re-sic).

Ô Lord! ... que c'est dur d'être aimé...

Enfin, quoiqu'il en soit je préfère définitivement les lesbiennes à l'esprit ouvert et aux idées larges, c'est à dire celles que je connais, et les féministes qui luttent avec les hommes pour l'égalité et le respect plutôt que contre la Terre entière, une paire de sécateur à la main.

Amen

Photo: Kate Orr pour une pub Levi's

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La bonne amie

10 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Divers & variés

La bonne amie
La bonne amie

C'est tout de même pas compliqué! Il ne s'agit pas d'avoir simplement les cheveux courts ( ou longs ) , ce qui est essentiel dans la vie, c'est d'avoir du style. Et avoir du style quand on a les cheveux courts, ça implique d'avoir une coupe toujours im-pec-cab-le.

Ah ben oui, là tout le monde est d'accord, sauf que, des cheveux courts toujours impeccables c'est un "rafraîchissement" tous les 15 jours ou au minimum un rendez vous mensuel chez le coiffeur.

La bonne amie

Et si vous n'êtes pas parvenue à négocier un tarif préférentiel avec votre coiffeur, autant dire que cela représente un budget pour une étudiante par exemple.

Maiiiiiis... Les femmes aux cheveux courts ne manquent pas de ressources, tout le monde sait cela. Et bien souvent, arrive à son secours "la bonne amie" coiffeuse, professionnelle ou simple passionnée qui a, après sans doute avoir fait quelques victimes, démontré son talent.

Alors du coup, régulièrement, le séjour se transforme en salon de coiffure et de quelques coups de ciseaux habiles, de quelques passages de tondeuse adroits, l'allure reste sauve, retardant parfois le rendez-vous "officiel" chez le coiffeur de plusieurs mois.

Mais la bonne amie ne saurait jamais se substituer à la "vraie" coiffeuse, qui malgré tout, bon an mal an, "rattrape le coup", restructure un peu la coupe et permet de repartir sur les bonnes bases.

La bonne amie

Merci Méli pour les photos et à sa "bonne amie" Fina pour la coupe.

Méli Rzg Model

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Feminarum capillis brevibus Regina*

6 Mai 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Quartier Libre, #Portrait

Feminarum capillis brevibus Regina*

Il y a, à Montpellier, un lieu où la rumeur finit toujours par conduire les femmes aux cheveux courts. Un endroit un peu surprenant au premier abord et dans lequel, il y a 5 ans, on ne s'attendait pas à voir autant de jeunes femmes.

C'est un salon de coiffure tout ce qu'il y a de plus masculin, style années 60, avec son lot de formica et de linoléum et deux authentiques fauteuils de barbier. Dans ce petit royaume du cheveux court, Gilles est le roi, mais la reine c'est Régine.

Feminarum capillis brevibus Regina*

Si aujourd'hui Régine est devenue une telle référence pour les femmes aux cheveux courts, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle même en est une, depuis .... toujours!

Adolescente punk et extravagante, elle avait déjà la tondeuse agile pour faire des coupes à ses copines et copains du lycée. Elle réussi pourtant à échapper aux affres de l'apprentissage et après des études sans intérêt, bac en poche elle intégre une école de coiffure. Formation classique, CAP homme et femme et puis l'expérience acquise dans différents salons qui l'amènent à quitter son Alsace natale...

Finalement et comme depuis toujours son vrai plaisir c'est de couper les cheveux, elle rejoint son complice Gilles, alsacien lui aussi, avec qui son parcours professionnel s'est déjà télescope auparavant. Ksalon, c'est le bingo!

Un salon hommes, mais pas que, puisque, petit à petit, son savoir faire et l'écoute particulière qu'elle porte aux femmes aux cheveux courts, son expérience et la confiance que lui accordent les clientes qui savent que "elle au moins elle n'a pas peur de couper les cheveux courts", vont rapidement faire l'unanimité.

Feminarum capillis brevibus Regina*Feminarum capillis brevibus Regina*
Feminarum capillis brevibus Regina*Feminarum capillis brevibus Regina*
Feminarum capillis brevibus Regina*Feminarum capillis brevibus Regina*

C'est que mine de rien, cette mère de 2 ados est parfois aussi queer que ses jeunes clientes. Elle sait mieux que personne saisir leurs attentes et percevoir leurs envies. Elle sait que dans le domaine du style, tout se joue au millimètre près. Elle aime ces jeunes femmes audacieuses, parce qu'elle connait le regard des autres, celui des mortels qui lorgnent sur les nuques trop courtes des filles avec une mine de dégoût et ceux qui médisent de ces femmes aux cheveux courts " qu'on ne reconnait plus ma pauv'dame "... Elle a aussi toutes ces audaces, de la boule à zéro au blond platine, du carré court aux extensions "africaines". C'est comme ça vient et selon les envies. Parce qu'elle sait que l'essentiel est bien d'être soi même et fuck les regards des autres. Grâce à cela, il y a comme une complicité, le regard bienveillant d'une "grande soeur", professionnelle néanmoins, qui sait bien comment " fondre parfaitement ce dégradé au dessus du tour d'oreille bien net et cette nuque que toutes aiment caresser une fois sorties du fauteuil...

* La reine des femmes aux cheveux courts

Ksalon, 6 rue du Petit St Jean, Montpellier

04 67 60 47 39

Photos: jeaneg

Avec l'amicale participation de Eva, Maud, Alexane, Romane, Wiebke, Adeline et Julie

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