Humeurs et états d'âme d'un amoureux des femmes aux cheveux courts.
Comme un baiser sur la nuque
Publié le 29 Août 2009
Délicate, délicieuse, fine et paraissant si fragile, la nuque a elle seule pourrait être le siège de mon trouble le plus profond. Parfois à peine dévoilée par un geste de la main, parfois impudiquement exposée par une coupe millimètrée, la nuque d'une femme attirera toujours mon regard. Et ces deux piliers creusant entre eux un sillonqui remonte à l'occiput sont comme fait exprès pour recevoir des baisers, puis la caresse où les doigts finissent par fourrager dans les mèches plus longues. Est ce par inconscience de ce pouvoir érotique que les femmes laissent encore leur nuque voilée par leur cheveux? Ou plutot connaissant sa puissance elles veulent nous épargner. Ah! Démone...