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Les Affranchies

Pornographie

30 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Ma Psy et Moi

Giorgia Soleri

Giorgia Soleri

Il faut bien avouer que, vis à vis des gens un peu curieux, la relation que nous entretenions, Frida, Laora et moi, nous concédait une odeur de soufre et nous faisait siéger, dans l'esprit des supporters de la Manif pour Tous, directement sur les genoux de Satan himself. Par chance, nous avions depuis longtemps jeté par dessus nos épaules les derniers restes de vergogne que nous possédions et nous étions mis d'accord pour ne jamais nous priver de choses susceptibles de nous procurer du plaisir, même sous le regard réprobateur des "bonnes gens".

Oh bien sûr, tout cela ne s'était pas fait en un jour. Il avait fallu faire sauter quelques verrous et l'on peut dire que de ce côté là Frida, ma psy bavaroise, nous avait bien fait grandir. 

La difficulté aujourd'hui était que nous étions tellement libérés, que nous frôlions chaque jour, ou presque, une indécence incompatible avec la bonne éducation que nous avions tous reçu... Enfin, Laora surtout. 

Ainsi, ce jour là, pour me provoquer et s'amuser de voir mes joues rosir, elle m'avait demandé, puis supplié en faisant sa mine de chaton abandonné, de tondre sa toison pubienne qui d'après elle avait atteint un seuil de friche insupportable.

Laora: " Ma jé sais que tou as les mêmes goûts que moi, alors, c'est plou pratique si c'est toi qui lé fait, comme ça moi jé peux jouir en même temps, no? " Ce qu'elle n'avait pas manqué de faire, à plusieurs reprises alors que je faisais oeuvre de jardinier, taillant, tondant et rasant le joli buisson. Puis, le plus naturellement du monde, elle m'encouragea à quitter moi aussi mes vêtements, pendant que Frida qui nous avait rejoint, s'harnachait d'un godemiché. Autant vous dire qu'à ce moment là, nous étions loin d'une discussions littéraires, comme celles qui animaient nos soirées habituellement...Enfin, des fois. 

Alors que la thérapeute munichoise s'apprêtait à sodomiser notre italienne dévergondée, celle-ci s'empara de ma verge, suçant et masturbant comme si sa vie en dépendait.

Ma Psy: " Tu n'imachines pas à kel boint che me zens gay lorzgue ch'engule zette pedite chienne afec zon allure de garzonnet! "

Et là, j'avoue que... je n'ai pas su quoi répondre...

 

PS: Bon ben voilà... Bonne Année hein?

 

 

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Sortilège

29 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Tendresses

Sortilège

Elle est délicieuse cette sensation étrange de montrer son audace et d'apparaitre dans la lumière avec cette coupe que tout le monde autour de soi trouvait "osée". D'abord il y a eu la peur, ce trac qui vous noue un peu l'estomac dès qu'il s'agit de bouleverser son image... Le shampooing, la couleur, tout ça c'est plutôt réconfortant. Et puis revient ce petit noeud dans le ventre, mélange d'appréhension et d'excitation. Une respiration, un souffle et la tondeuse à même la peau efface les cheveux jusqu'à la tempe. Le regard s'élargit, surpris, curieux, la bouche sourit. Voilà c'est fait. Inutile d'envisager un retour en arrière, le pas est franchi...

La machine ronronne, glisse, caresse, donne de petits coups, ici, là, revient, repasse puis se tait.

Sortilège

Lorsque tout est achevé, alors qu'on s'attendait à la retrouver plus "masculine", c'est tout le contraire. Le contraste révèle toute la finesse de son visage, la délicatesse de ses traits. La voici qui apparait nouvelle. Les vêtements sont les mêmes, le visage est le même, la personne est la même, pourtant le regard pétille, curieux il cherche à travers le miroir ce qui diable a pu se transformer à l'intérieur... La fierté, la confiance, cette satisfaction d'être exactement celle qu'elle voulait être et qui subitement se voit.

Sortilège

Ensuite il y a ce geste auquel personne ne résiste. Le regard quitte le miroir, la tête se baisse et la main, doucement, vient se poser sur la nuque. Le contact fait naître un sourire, qui s'efface, puis les doigts, délicatement, caressent la peau hérissée de cheveux ras et les frissons qui parcourent les épaules font presque rougir...

Elle se reprend, s'admire un instant et sûre d'elle retrouve le monde... Invincible!

Coupe: Dexter Dapper

 

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Courts, très courts... vraiment courts!

27 Décembre 2016 , Rédigé par Jeaneg

Courts, très courts... vraiment courts!

Il y a bien des façons d'avoir les cheveux courts et finalement je suis plus fasciné par la démarche que par le résultat, quand les femmes savent déterminer leur propre féminité sans se plier aux règles désuètes d'un jeu de séduction ancestral.

Les goûts et les couleurs appartiennent à chacun(e) et personne ne peut en discuter, c'est ça la règle. Qu'on me le demande et je donnerai mon avis, lui aussi personnel, en fonction de mes propres critères, de goût et de couleur. Par exemple, je n'ai jamais vraiment trouvé très esthétique d'avoir moins d'un centimètre de cheveux sur le crâne. Cependant, je dois avouer que certaines, par leur démarche et par le résultat obtenu, m'ont submergé d'admiration et de respect.

Il n'en reste pas moins vrai que c'est une incroyable expérience humaine et que bouleverser en quelques passages de tondeuse sa physionomie, révèle à coups sûrs bien des choses sur soi même et sur les autres....

D'ailleurs, sans aller jusqu'à l'ultime -et éphémère- sacrifice de sa chevelure, j'ai remarqué l'audace dont il faut faire preuve pour "effacer" les détails qui pendant longtemps sont restés imposés par les coiffeuses sans imagination, aux jeunes femmes qui rêvaient de cheveux courts. Pas "trop court" sur la nuque et bien sur les pattes un peu longues et effilées... "pour ne pas faire trop masculin" (sic ). Ça n'a l'air de rien, mais surmonter ces tabous, donne à certaines et à juste raison, un sentiment de fierté incomparable.

En cette période de grandes résolutions, je me suis dit que c'était intéressant de l'évoquer... 

Photo: Andis

 

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Rien de plus...

26 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Divers & variés

So long George

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Les affranchies

24 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Tendresses

Les affranchies

Je sais ce que disent les gens, je vois leurs regards, un peu fuyants. Bien sûr, de temps à autre, il y a un sourire, un clin d'oeil, mais le plus souvent tout cela respire la réprobation. Allez savoir pourquoi ils ne parviennent pas à s'empêcher de juger...

Peut être sont ils vexés de ne pas savoir nommer ces deux personnes qu'ils croisent, alors ils se vengent, font dans l'excès, dans le dégoût.. et tout est bon, les vêtements, la coupe de cheveux, l'attitude, chaque détail reçoit sa petite goutte de bile...

Mais voyez vous... je vais vous dire, ces filles à la nuque rasée et aux pantalons serrés ne voient pas le monde mesquin des gens étriqués qui voudraient les juger. Elles sont elles mêmes un monde, d'un genre différent, bien meilleur que le leur. C'est peut être ça qui fait grincer les dents des "bonnes gens", qu'elles soient inaccessibles à leur désir, qu'elles se soustraient à leur concupiscence, qu'elles s'affranchissent de leurs règles.

Leurs cheveux trop courts, leur poitrine si peu visible et leurs vêtements confortables les fait échapper à l'attraction des êtres simples qui dénient leur féminité et vomissent leurs amours surnaturelles et idéales.

Passez donc, bonnes gens, marmonnez, ruminez, vomissez...

"les enfants qui s'aiment ne sont là pour personne... "

Photo : ©jeaneg

Citation : Les enfants qui s'aiment - J. Prévert

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Façon "Peaky Blinders"

21 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Façon "Peaky Blinders"

Pour celles qui sortent à peine de leur couvent en Moldavie, Peaky Blinders est une série anglaise racontant l'histoire d'un gang de gitans ayant la main mise sur la ville de Birmingham dans les années 20...

Je n'y avais pas songé tout de suite, mais une réflexion faite par un passant à deux de mes amies m'a fait sourire et je me suis dit qu'effectivement, l'une et l'autre auraient pu avoir un rôle ( masculin ) dans la série grâce à leur coupe de cheveux.

Ce n'est pas une tendance, juste un style que s'approprient ces jeunes femmes qui aiment brouiller les pistes et laisser leur genre indéterminé. En pratique, il s'agit de tondre bien ras les contours, tempes, tour d'oreille et nuque et pratiquement sans transition, laisser les cheveux dessus d'une longueur suffisante pour être coiffés, avec ou sans raie, devant, en arrière ou sur le côté.

C'était donc, pour le passant qui a fait cette réflexion à mes amies, une façon de faire un clin d'oeil, bien que mes amies, j'en témoigne, n'ont rien de jeunes gangsters londoniens du début du XXème siècle ( ... enfin je crois? ). Mais ce qui m'amuse et me plait, c'est de réaliser de quelle manière, facilement somme toute, les jeunes femmes ont "détourné" cette coupe de cheveux pour la rendre élégante et stylée.

Photo: ©jeaneg

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Quartier Libre: Jo Jackson "A Regular Badass"

20 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Quartier Libre

Quartier Libre: Jo Jackson "A Regular Badass"

Comment, quoi, qu'est-ce que vous dites? Vous ne connaissez pas Jo, Jo Jackson, cette femme extraordinairement "badass", inventive, attractive, intelligente, cultivée, sportive, polyglotte et terriblement drôle?

Alors pour vous, Jo se raconte un peu, à l'occasion de son dernier passage chez le coiffeur...

Si ce n'est pas Salomé qui me coupe les cheveux, c'est personne. Avec le temps j'ai acquis un bon sens des coiffeurs. Dès que je trouve un bon, ça y est - c'est pour toujours, ou presque. J'ai tendance à cibler des coiffeurs si doués qu'ils sont détournés par des promesses de vies meilleures que ce soit à Berlin ou à Las Vegas. Bref, ils partent tous au bout d'un moment. 
 
Le danger c'est de se faire coiffer par quelqu'un qui a l'habitude des coupes courtes de grand-mère. Quand j'ai quittée le Zimbabwe et j'ai perdu mon coiffeur Chris, j'ai connue une horrible période de coupes de femme de 50 ans, bien que j'en avais que 14. Une fois que j'ai déménagé depuis la campagne jusqu'a Bordeaux, j'ai trouvé un salon de coiffure très branché. Le truc c'est que, j'entrais dans ma période de dénis de sexualité.
 
Depuis toute petite j'ai toujours eu les cheveux courts. D'ailleurs je vais publier un peu de mes écrits sur mes souvenirs d'enfance sur Koeksisters dont un poste sur le jour où je me suis rasé les cheveux à 9 ans avec l'accord de mes parents. J'ai toujours su que je n'étais pas une fi-fille et mes cheveux étais un moyen de le communiquer.
 
Lorsque j'ai commencé le lycée à Bordeaux, c'est alors que je me suis rendue compte que j'étais attirée par les filles. Ça ne me dérangeais pas plus que ça, du moment que je n'étais pas une lesbienne stéréotypée - la Butch quoi.
 

Du coup je voulais absolument avoir les cheveux longs à cette période. Ça ne m'allait pas trop, mais quelque part je voulais prouver qu'une lesbienne pourrait être belle et féminine. Je partageais ces insécurités avec ma première copine avec qui j'ai vécu une histoire secrète pendant plus ou moins 3 de nos 8 ans d'amour.
 
Ce n'est qu'à l'université que j'ai renoué avec mes cheveux courts, au fur et à mesure que je devenais plus confiante dans ma sexualité et mon identité. Je suis un tomboy. Ca m'a pris un peu de temps de l'affirmer comme je le fais maintenant.
 
Sexualité et genre sont deux choses bien distinctes. Mes parents (ma mère en particulier) trouve ma sexualité facile à comprendre et à accepter, mais la façon dont j'exprime mon genre (une femme tomboy, un peu masculine et féminine à la fois) la trouble légèrement. Mais on peut en parler ouvertement. Elle veut tout simplement apprendre et comprendre.
 
C'est drôle, parce que ma mère me trouve très masculine, ma copine me trouve très féminine.
 
C'est dur parfois de savoir ce que je suis lorsque la vision que les autre ont de moi varie autant, et souvent leur visions ne correspondent pas a celle que j'ai de moi-même.
 
Salomé commence a trouver qu'il est temps que je change de coupe. Je suis en manque d'inspiration et c'est rassurant quand on a un "signature look". T'as des suggestions?

Pour en savoir plus:

Koeksisters son site web

Koeksisters sa chaine Youtube ( J'adore les Dubsmash )

Koeksisters son Instagram

Salome Dewet sa coiffeuse

 

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L'icone androgyne: Un portrait de Kim

19 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Portrait

L'icone androgyne: Un portrait de Kim

Il y a des personnes que l'on a le sentiment de déjà connaître lorsqu'on les rencontre. Des allures qui ont jalonné notre mémoire, des styles que l'on retrouve de loin en loin, pour nous rappeler cette image de l'androgyne qui nous a toujours fascinée...

Kim est née à la campagne mais elle a grandi dans la ville et on a pas de mal à l'imaginer, Gavroche, trainant ses Vans et son baggy avec nonchalance sur son skate. La dernière fois qu'elle a porté une robe, elle s'en souvient, c'était pour un mariage où on lui faisait jouer le rôle d'une petite demoiselle... un cauchemar!

Petite tomboy, son père comprend la force de ses convictions lorsqu'elle demande qu'on lui coupe les cheveux. Pensant réaliser une bonne opération, il lui promet la coupe de cheveux qu'elle désire en échange d'une bonne note en dictée... Kim ramène un 10/10.

Depuis, après avoir expérimenté toutes sortes de choses, de coupes et de couleurs, elle a forgé un style qui est devenu lui même une sorte de référence, tout comme elle a pu être inspirée de modèles, réels ou romanesques dans sa jeunesse. 

 

Shane, Nanou...Shane, Nanou...

Shane, Nanou...

Aujourd'hui elle pourrait à son tour être cette icône androgyne qui inspire d'autres générations, parce qu'elle n'a jamais vraiment été inquiète de son genre, assurée et fière d'être "différente". Elle n'en tire aucune vanité, semble presque gênée qu'on lui témoigne autant d'attention, mais béni le ciel d'avoir ce corps longiligne et droit qui souligne merveilleusement l'ambiguïté de son genre.

Il y a chez elle ce dosage parfaitement subtil entre le masculin et le féminin, l'aisance à naviguer d'un genre à l'autre, sans jamais d'excès et malgré son caractère réservé, l'aura de celles qui parviennent à être toujours à l'aise dans l'authenticité. 

 

L'icone androgyne: Un portrait de Kim

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Fille à papa. Un portrait de Ninon

17 Décembre 2016 , Rédigé par Jeaneg Publié dans #Portrait

Fille à papa. Un portrait de Ninon

C'est une famille un peu compliquée, comme il y en a beaucoup de nos jours. Divorcée et recomposée, multiple et foisonnante. Pourtant Ninon a poussé comme une jolie plante, bien cultivée, enroulée autour d'un tuteur, solide et rassurant.

Enfant elle était persuadée d'être un garçon et ses cheveux longs n'y changeaient rien. Grimper aux arbres, jouer au foot... personne n'a jamais eu la mauvaise idée de lui dire que ce n'était pas trop des manières de petite fille. Son mentor, son phare, c'était son père. Avec lui elle a  appris la vie sans obstacle de genre, sans barrière de préjugés. Et si un jour la petite Ninon, en passant devant la boutique d'un coiffeur lui dit qu'elle aimerait bien avoir les cheveux courts, il la prend volontiers par la main, quelques jours plus tard, sans prévenir, pour lui faire couper les cheveux. 

L'adolescence sera pavée de bien d'obstacles, de confrontations, avec les autres, avec elle même. Il faut céder un peu et faire des compromis, jouer la fille, se chercher... se trouver.

Un jour enfin, définitivement, l'androgyne qu'elle a toujours été, coupe ses cheveux bien court. Elève brillante, elle se lance dans le cinéma, le Bac, la Fac. Elle a une assurance magnifique, peut être un début de certitude sur son genre, celle de ne pas en avoir... Et c'est bien ainsi.

Et si aujourd'hui ce père complice était encore là, il serait fier de voir la jeune femme assumer si bien son androgynie

Fille à papa. Un portrait de Ninon

Photos: ©jeaneg

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Le dernier jugement

14 Décembre 2016 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Photos: Fany Meil

Photos: Fany Meil

Peut être y a-t-il ici bas une femme aux cheveux courts capable de dire que personne ne lui a jamais reproché d'avoir coupé ses cheveux? Peut être qu'elle existe vraiment, celle qui adolescente ou jeune adulte, a découvert sa vraie personnalité et s'en est trouvée encouragée par ses proches à qui elle dévoilait sa nouvelle tête? Non bien sûr, j'exagère, comme toujours. Evidemment que cela existe... enfin j'espère.

Il faut croire que l'Humain est ainsi construit, pour, selon son âge ou sa position sociale s'arroger le droit de juger et condamner quiconque s'écarterait de ses propres idées, de ses goûts et de ses couleurs. Mais c'est une chose d'être confrontée aux préjugés des "autres" et une autre, bien plus cruelle, que d'être victime de ceux de ses proches.

Je les entends ces parents qui persistent à se moquer de leur fille aux cheveux courts ou qui plus tristement témoignent de leur exaspération à la voir les couper toujours plus courts. Je les entends ces portes qui claquent, ces poings qui frappent la table, ces cris stupides. J'entends les arguments qui n'ont pas de sens, qui en appellent à ce que pourraient penser "les autres", qui tranchent sur ce qui est beau et ce qui ne l'est pas, qui parlent de féminité sans en connaître le sens...

Et là où tout au contraire elles auraient besoin d'être rassurées, confortées, épaulées par des pères aimants et des mères bienveillantes, elles se retrouvent jugées, dénigrées, moquées et rejetées, par ceux qui devraient être les derniers à le faire...

Dieu merci, comme disait l'autre, ces femmes aux cheveux courts, quelque soit leur âge, ont ce courage et cette force qui caractérisent celles qui n'ont pas peur de sortir du sentier trop battu et qui savent que leur image n'appartient qu'à elles, riant au nez de ceux qui pensent que les femmes, les vraies, doivent s'habiller en robe et laisser leurs cheveux leur battre les reins.

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